Une histoire de bulles qui a démarré il y a quelques années. « J’ai commencé à faire mes cosmétiques moi-même, j’en avais marre de ne pas savoir ce que je mettais sur ma peau », se souvient Mara Zampolini.
De fil en aiguille, elle se lance timidement dans la fabrication de savons, même si au début, « cela me faisait un peu peur, car il faut utiliser de la soude ». Le processus lui plaît, et elle en confectionne d’abord pour elle, « des savons simples, à l’huile de baie de laurier et à l’huile d’olive, l’équivalent du savon d’Alep », puis pour ses proches. « Ils m’ont incitée à les commercialiser, alors je me suis lancée ! ».